Ils ont fui la guerre, la violence, la dictature. Ils ont rêvé de la France. Mais depuis leur arrivée, des centaines de réfugiés venus d’Afrique sont condamnés à une vie d’itinérance, pris dans les dédales administratifs de l’attente pour l’asile.
À Paris, le 4 septembre 2015, les opérations de démantèlement se poursuivent. Cette fois-ci, c’est au tour du camp installé au métro La Chapelle. L’ancien plus grand squat de Paris ne peut que constater l’évacuation des derniers réfugiés installés ici. Épuisés, les réfugiés sans-abris décident d’occuper le parvis de la mairie du 18e arrondissement pour demander des solutions. J’ai suivi leur quotidien pendant quelques jours .
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Publié sur Ricochet le 21 septembre 2015.